Tu m'encules bien profond

C'est le soir. Dans le salon.
C'est l'heure de l'apéro. Je nous ai servi un petit Mus cat bien frais du fond de la province, je ne vous dit que ça. Une merveille de richesses gustatives. Il se boit tout seul et la bouteille en a pris un coup. Nos yeux brillent. Nos langues se délient. Nous nous sentons bien, détendus. Et puis, j'ai une sensation bizarre, une tension dans les reins, un chatouillement dans la gorge, une inquiétude diffuse… Je te regarde, tu resplendis dans ta nudité mais ce n'est pas ça, ça ne m'excite pas. Nos verres sont vides, je nous ressers. Je veux en avoir la certitude, je tends la main et je caresse un de tes seins. Une merveille de sein saggy. Mais ce soir, ça ne m'excite pas. Et là, c'est vraiment pas normal. C'est donc que je suis certainement préoccupé par quelque chose que je ne sais pas encore identifier. Il faut que je trouve. Toi, de ton côté, tu sembles un peu plus réceptive et ma nudité semble t'émoustiller. Tu jettes de fréquents coups d'œil à mon sexe au repos. Et si je bandais, ça te plairait ? Je me concentre, j'essaye de trouver un idée stimulante. Je me caresse un peu. Tu remues dans ton fauteuil. Et, j'ai comme un flash flou. Quelque chose semble vouloir émerger. C'est indistinct encore. Tu me demandes de me lever. Je le fais. Et de me tourner. Je m'exécute. Je sens que tu mates mon cul. En effet, tu me demandes de me pencher et d'écarter les fesses. Je sens un doigt toucher mon anus, appuyer un peu, essayer d'entrer. Tu y déposes un baiser et un coup de langue. Tu es chaude. Je veux me retourner. Non, non. Tu n'en a pas fini. Tu me caresses les fesses. Tu glisses ta main entre mes jambes. Tu caresses mes couilles. Tu les malaxes un peu. On ne peut pas dire que ça ne m'émeut pas, mais ce n'est pas ça. Je ne bande pas alors que tu fais tout ce qu'il faut pour. Tu allonges ton geste. Tu saisis ma queue, molle. Ne dois-je pas m'inquiéter ? Tu as bien-sûr réalisé que quelque chose clochait. Mais, l'alcool aidant, tu restes fixée sur ton désir. Le spectacle de mon cul t'a permis de le préciser. Tu te lèves, vacillante, et tu quittes la pièce. Je t'entends aller et venir dans la chambre. Tu reviens.
Tu as "chaussé" ton nouveau gode (voir Tu vas m'enculer ?). Je sais que je vais y passer. Et c'est comme si une digue cédait. Le désir m'emplit tout entier. Je vibre, je bande, ça palpite, je mouille. Ça y est, j'ai retrouvé mes sensations. C'était donc ça. Une mauvaise expérience, un manque, une frustration mal vécue. Tu es ridicule. Non, j'étais resté avec un désir coincé qui parasitait le reste, qui refoulait tout autre désir. Tu as envie ? je lui demande. Ah oui, je vais t'enculer mon salaud. Bien profond. J'ai trop envie. De mon côté, j'ai envie aussi. Mais c'est toi qui décides. Tu m'enjoins de m'agenouiller dans mon fauteuil, de m'appuyer au dossier et de tendre le cul. Oh la la, je vais y avoir droit. Tu lèches mon anus. Tu y introduis ton index. Et tu ajoutes le majeur. Tu les fait entrer et sortir. Les doigts profondément plantés, tu caresses ma prostate. Tu as compris que tu en obtenais du foutre à volonté. J'aime que tu fasses ça. Je n'ai même plus à te le demander. C'est intégré à nos jeux maintenant. Ce que tu fais t'excite. Tu retires les doigts de mon cul. Une main se pose sur ma hanche, la saisit. L'autre tient le gode. Tu le diriges. Il pointe mon anus, s'y presse. Tu pousses. Plus fort. Ça rentre. Oh! Ça rentre toujours et encore. C'est long. J'adore. Et tu choisis d'aller et venir. Tu sors le gode de mon cul, tu l'y plantes à nouveau. Tu me donnes du plaisir. Mais ça ne te suffit pas. Tu saisis ma queue épanouie, tu me branles. C'est vrai que tu aimes me faire jouir, tu aimes ce pouvoir. Je te fais savoir que la position devient inconfortable. Je te suggère le lit. Pourquoi ? Je veux être sur le dos. Je veux que tu m'encules sur le dos. J'allais te le proposer me dis-tu. Nous nous levons précautionneusement. Ne surtout pas déculer. Et nous nous mettons en route. Je marche, tu suis. Et tu m'encules. Je bande bien, je suis content. Arrivés au lit, nous allons devoir faire attention pendant que je me mets sur le dos. Tu restes au plus près de mon cul. Je me retourne. Une jambe a du mal à passer. Je suis sur le dos au bord du lit. Tu recommences à aller et venir. Tu recommences à me branler. Je cherche, je voudrais bien, mais je n'arrive pas à trouver ta chatte. Elle est dure à atteindre. Mes sensations me renseignent sur la qualité de ton enculage. C'est de la qualité. La branlette s'accélère. Continue comme ça. Je ne suis pas insensible à tes caresses, tu sais les prodiguer. Branle-moi bien. Ne t'arrête pas. Mmmm. Ça vient. Tu m'encules, tu m'encules… et je jouis de ta main. Oh, quel pied! Merci mon amour, merci. Mon foutre viens se mélanger aux poils de ma poitrine. Tu le lèches. Rien ne se perd. Tu décules d'un seul coup.
Après m'avoir fait jouir selon tes règles, tu as une petite requête, elle tient en quatre mots : « Bouffe-moi la chatte ». Seulement si elle est trempée. « Bouffe-moi la chatte! » Elle ne peut qu'être trempée. Je me lève. Tu retires le gode. Tu prends ma place sur le lit. Je suis entre tes jambes. Et je ne sais plus comment faire. Ta chatte garde la trace du gode. Elle est entrouverte et dégoulinante. Il faut que je me décide. Je choisis de commencer par la lécher. Autour puis dedans. Tes poils sont pleins de ta mouille. Je lèche, je bois, je nettoie. Puis je retrouve mes moyens. Je décide de m'occuper de ton clito. J'ouvre ta chatte, elle semble épanouie. J'insère un index et un majeur. Ils vont et viennent. Je les replie à l'intérieur. Ils vont et viennent. Oh, tu as senti la différence. Je me penche sur ton clito, je lèche, je suce, je bois, je titille, j'embrasse, j'insiste, j'aspire... et je recommence. Je vois que ça te plaît. Je continue. Et je me souviens que tu aimes particulièrement qu'on caresse le côté droit de ton clito. En effet, ça t'en fait de l'effet. Oh la, tu apprécies. Ta respiration s'accélère. Des tensions se font et se défont. Tu dis continue. Comme si j'allais arrêter. J'ai l'impression que tu décolles du lit. Tu jouis. C'est merveilleux. Tu prends ma tête dans tes mains et tu l'éloignes de ton sexe. C'est trop. Ton regard est tout troublé. Tu approches ton visage du mien et tu lèches ta mouille dans mes poils. Tu m'embrasses. Et tu t'écroules sur le lit, langoureuse. Je t'y rejoins. Quelques baisers, quelques caresses légères. Nous nous endormons enlacés.
Objavio/la JeLesAimeSaggy
Pre 2 godine/godina
Komentari
1
ili se da biste objavljivali komentare
mmmm j aule bien t enculer salope
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