Ça baigne

On l'aime cette balade dans la campagne au long de la rivière rafraîchissante. On la fait souvent. On n'y rencontre pas grand monde. Elle est chargée de souvenirs. Tu te souviens mon amour ? Tu te souviens de ce trou dans l'eau avec une petite plage ? Et de ce saule immense qui nous faisait de l'ombre ? Et de cette cabane de forestiers dans le bois pentu ? Et de cette petite auberge où nous nous étions réfugiés pour échapper à la pluie ?

Nous avions marché longtemps dans la chaleur de cet après-midi printanier. Nous n'avions plus rien à boire. Nous étions las. Nous avions chaud, nous étions en sueur et nous attendions de bientôt nous baigner dans le trou d'eau de la rivière. Et il est apparu. Enfin. Nous nous sommes déshabillés tout en marchant. Et, courants, nous avons plongés. Les vaches, curieuses, dans le pré de l'autre côté de la rivière, nous regardaient.
Nous avons trempé un moment. Je me suis rapproché de toi.
Tes longs seins, attirés par la surface, flottaient, nageaient, ballottaient horizontaux dans le courant. On aurait dit des drap eaux, des fanions flottant au ralenti dans le vent. Ils me frôlaient de temps en temps, incroyablement bandants. Je bandais dur.
J'ai commencé à te masturber dans l'eau. Tu as réagi positivement en serrant les jambes sur mes doigts et en gémissant. Tu as saisi ma queue et tu t'es mise à me branler.
Le foutre a jailli si vite. Il s'est dispersé immédiatement dans le courant léger. Tu as joui aussitôt.
Nous sommes venus nous allonger dans l'herbe et nous avons certainement fait un petit somme, enlacés.
Au réveil, tu t'es levée. Tu m'as enjambé. Tu es venue t'asseoir sur mon visage. Tu as eu deux ou trois mouvements du bassin, douce caresse. La baignade nous avait rafraîchi mais pas désaltéré. Tu as dit « Ouvre ». J'ai obéi tout de suite. Et, tout naturellement, au contact avec ma bouche, tu as pissé, pissé, pissé. J'ai bu. J'ai bu tout ce que j'ai pu. C'était trop. Je suffoquais. Et je voyais dans tes yeux le plaisir que tu prenais à me faire plaisir. Merveilleuse salope.
Ta chatte gouttait encore que tu me disais que tu avais soif aussi. Après l'avoir léché, je t'ai demandé de te rallonger dans l'herbe. Debout, j'ai mis une jambe de chaque côté de ton buste. J'ai décalotté. J'ai dit « Ouvre ». Et j'ai tout lâché. Tu gardais la bouche ouverte tout en avalant. La petite mare dans ta bouche moussait. Et tes yeux disaient ton plaisir au milieu des éclaboussures. Je bandais à nouveau.
Tu t'étais levée et t'apprêtais à te rhabiller. Je t'ai arrêtée : Non, on rentre à poil. Tu as regardé mon érection, tu m'a regardé. On attend que je débande.
Quand ce fut le cas, nous nous sommes mis en marche vers la maison qui n'était plus très loin.
Alors qu'il n'y a presque jamais personne sur ce chemin, j'entends des voix au devant de nous. Tu les as entendues aussi, tu paniques. J'hésite un instant et je t'emmène à l'écart du chemin dans un sous-bois. Peu de temps après, le maire et une jeune personne inconnue arrivent en sens inverse. Nous avons failli les croiser. Cette personne, une superbe jeune femelle, semblait très entreprenante. Elle n'arrêtait pas de le toucher, elle lui caressait l'entre-jambes. Il s'arrête, la regarde et l'embrasse. Il l'entraîne dans le sous-bois!!! Heureusement, ou malheureusement, je nous avais bien caché. Nous étions accroupis, nous faisant tout petits. Je te tenais devant moi dans mes bras les mains sur tes seins mous. Et nous voyons la jeunesse se mettre à ses genoux et baisser le pantalon du maire. Vite elle baisse le slip et se jette goulûment sur sa queue, et quelle queue! Elle l'avale et la pompe. M. le Maire semble apprécier. Il respire rapidement. Il la regarde le sucer. Il prend sa tête entre ses mains, l'immobilise et se met à la baiser dans la bouche. Profondément. Et M. le Maire jouit. On la voit avaler. Elle se relève et donne un baiser poisseux au maire. Il sourit de contentement. Ils repartent. Leur manège m'avait donné une belle érection que je m'étais empressé d'introduire dans ton cul. Sans bouger. Maintenant, je bouge et je jouis. Nous aussi nous remettons en route. Je te laisse passer devant, je vois ton immense cul poilu se balancer devant moi. Je ne vais quand même pas rebander…
Objavio/la JeLesAimeSaggy
Pre 2 godine/godina
Komentari
1
ili se da biste objavljivali komentare
mmmm merci pour le bol d'air frais. Ensuite, Dieu que j'aimerais enter la langue et tous mon visage dans ce cul poilu, chaud, poisseux, sale, et le nettoyer en me branlant
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